Wednesday, December 1, 2010

Le premier

La série "Rouge", écrite par Alexandre Babeanu, n'en est pas encore une. C'est une saga virtuelle qui n'existe pour l'instant qu'à deux endroits: dans la tête de son créateur, et, en partie, sur son disque dur.

Alors pourquoi l'auteur en parle-t'il si cette œuvre n'existe pas (encore)?

L'auteur, c'est moi, et j'avais envie de partager certaines pensées à son sujet au moment où elles m'arrivent, et non risquer de les oublier en les gardant pour plus tard.

Donc, ces pensées, les voilà...

En commençant par la description du ou des bouquins à venir.

J'ai lu quelque part qu'il fallait commencer une histoire en écrivant uniquement une phrase. Une seule, qui résumerait de manière si parfaite l'œuvre, que le lecteur en aurait aussitôt à l'esprit l'ambiance et la trame. Si cette phrase était bien écrite, alors elle guiderait de manière sure la plume de l’écrivain vers le but qu’il s’était fixé.

Mais voilà, trouver cette phrase, c’est difficile ! Beaucoup ne s’y essayent même pas. Et pourtant, il me semble à moi que les meilleurs livres sont ceux que l’on peut résumer comme ça, ce sont ces œuvres là qui restent et qui marquent une génération.

Par exemple, je vous propose ça : « Un jeune orphelin négligé par son oncle et sa tante se retrouve inscrit à l’école des sorciers, où l'attend une destinée hors du commun. ». De quel livre s'agit-il, avez-vous deviné ?

Je vais donc vous révéler ce qui me semble être cette phrase ultime qui résumerait le premier volet de ma saga… mais pas aujourd’hui ;) ! Je ne suis pas encore prêt, le livre n’est pas fini,désolé. Bientôt…

Je peux cependant dire qu’il s’agit d’une aventure avec une trame de science-fiction, pour la jeunesse. Oui, elle s'adresse aux lecteurs en âge de lire tous seuls, à mon avis à partir de 11 ans, et qui n'ont pas peur de s'embarquer dans une épopée pour le moins exotique.

Dans le premier volet de cette saga, intitulé "La compagnie du Soleil Rouge", on va faire la connaissance d'adolescents pas comme les autres vivant sur une planète bien étrange : Glyhèse.

Je n’ose en dire plus.

A bientôt donc.